Un mari reconnu coupable, en 2015, de violences domestiques, et notamment de contrainte sexuelle et de viol, qui envoie sa victime sur le banc des accusés. C’est ce qu’a dû subir ce matin la chanteuse Sonia Grimm. Un plaignant qui a par ailleurs brillé par son absence, un fait relevé par la présidente du Tribunal de police de l’arrondissement de La Côte.
Le futur ex-mari de la chanteuse l’accusait d’escroquerie et de faux dans les titres dans le cadre de la société de production que le couple avait créée. Une affaire qui remonte à l’époque de leur séparation houleuse en été 2014. Le Tribunal a blanchi l’artiste des deux chefs de prévention et lui a même accordé une indemnité pour l’exercice de ses droits de procédure à hauteur de 9720 francs.
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