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«Nous ne pouvons rien à la décision de Didier Burkhalter»

La présidente Petra Gössi parle du Conseil fédéral, de fiscalité et de retraites.

23 juin 2017, 23:26
/ Màj. le 24 juin 2017 à 00:01
Petra Goessi, Praesidentin FDP.Die Liberalen spricht waehrend einer Medienkonferenz ueber die Nachfolge von Bundesrat Didier Burkhalter, am Donnerstag, 15. Juni 2017, im Medienzentrum Bundeshaus in Bern. (KEYSTONE/Anthony Anex) SCHWEIZ MK FDP NACHFOLGE DIDIER BURKHALTER

Voici un peu plus d’un an que la conseillère nationale Petra Gössi (SZ) préside le Parti libéral-radical. Tour d’horizon des sujets chauds.

Didier Burkhalter a jeté l’éponge. Vous ne l’avez pas beaucoup aidé en vous opposant à lui sur l’accord-cadre avec l’Union européenne. Ne vous sentez-vous pas coresponsable de sa démission?

Non. Le conseiller fédéral Didier Burkhalter a décidé, après plus de trente ans consacrés à la politique, d’écrire une nouvelle page de sa vie. Il a tout simplement souhaité prendre du temps pour sa famille et pour lui.

Est-ce normal au PLR de ne pas soutenir ses conseillers fédéraux?

Le Conseil fédéral décide en tant que collège. Il n’est donc pas inhabituel que ses décisions ne soient pas en accord avec tous les partis. Je me rappelle d’ailleurs que le conseiller fédéral Alain Berset n’avait pas le soutien du Parti socialiste dans son combat contre la caisse unique.

Passons...

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