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Même si les jets bruyants iront à Payerne, Lucerne grimace

A Emmen, on est soulagé de ne pas devoir accueillir les F/A-18 ayant quitté Sion, mais pas rassuré pour autant.

17 févr. 2017, 23:39
/ Màj. le 18 févr. 2017 à 00:01
--- DIE SCHWEIZER ARMEE IST IMMER WIEDER EIN THEMA IN DER OEFFENTLICHKEIT. KEYSTONE HAT AUS DIESEM GRUND DAS BILDMATERIAL ZUR SCHWEIZER ARMEE AKTUALISIERT UND STELLT IHNEN IN LOSER REIHENFOLGE NEUE THEMENBILDER VERSCHIEDENER ABTEILUNGEN ZUR VERFUEGUNG --- Ein Mitarbeiter des Flughafens haelt sich wegen des Laerms der Flugzeuge die Ohren zu, aufgenommen am 9. August 2013 am Stuetzpunkt der Patrouille Suisse, der Kunstflugstaffel der Schweizer Armee, auf dem Militaerflughafen Emmen. (KEYSTONE/Gaetan Bally) *** NO SALES, NO ARCHIVES *** SCHWEIZ ARMEE PATROUILLE SUISSE

Le ciel lucernois se remplira un peu plus dès l’année prochaine, tout comme les cieux broyards: les bases aériennes d’Emmen (LU) et de Payerne (VD) devront en effet accueillir les vols militaires de Sion, où l’armée quittera l’aérodrome à la fin de cette année. Mais Emmen échappe au stationnement permanent des jets les plus bruyants, les F/A-18. Sur place, c’est ce qu’ont expliqué les responsables des Forces aériennes hier devant les médias invités sur le tarmac.

La tension montait depuis plusieurs mois dans la banlieue lucernoise (lire notre édition du 6 février). Avec ses 30 000 habitants, Emmen craignait de devoir absorber une grande partie des opérations sédunoises. Cela ne sera pas le cas, puisque Payerne, aujourd’hui déjà première base aérienne en termes de mouvements d’avions de Suisse, devra «digérer» encore davantage de F/A-18 (voir ci-dessous). Les Lucernois ne sont toutefois pas vraiment rassurés.

Augmentation de 20%

«Certes, le fait...

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