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Le taux d’aide sociale n’augmente plus dans les grandes villes du pays

23 août 2016, 23:43
/ Màj. le 24 août 2016 à 00:01
THEMENBILD --- Obdachlose im Aufenthaltsraum der Notschlafstelle Sleeper in Bern, am 9. Maerz 2006. - Knapp ein Fuenftel der Bevoelkerung im erwerbsfaehigen Alter hat von 2004 bis 2006 Leistungen aus Arbeitslosenversicherung, IV oder Sozialhilfe bezogen, wie eine vom Bundesamt fuer Sozalversicherungen (BSV) am Freitag, 27. Maerz 2009, veroeffentlichte Studie zeigt. Der viel zitierte ÑDrehtuereffektì scheint dabei gering. 13 Prozent aller Bezuegerinnen und Bezueger oder rund 125 000 Personen erhielten in den drei Jahren Leistungen aus mehr als einem System. (KEYSTONE/Gaetan Bally)  *** NO SALES, NO ARCHIVES *** SCHWEIZ SOZIALWERKE STUDIE

Lausanne qui sourit, Bienne qui soupire. D’un côté, la métropole vaudoise qui réussit à réduire, d’année en année depuis 5 ans, son taux d’habitants à l’aide sociale (de 10,2% à 8,8% en 2015). De l’autre, la ville bernoise qui n’échappe pas à une hausse, bien que légère, des personnes en difficultés (à 11,6%).

Ce ne sont pas deux cas isolés. Le taux d’aide sociale n’augmente plus dans les plus grandes villes du pays – Zurich, Lausanne et Bâle – alors qu’il croît dans les agglomérations voisines et les villes de taille moyenne, révèle l’Initiative des villes pour la politique sociale dans son rapport annuel publié hier. L’étude se repose sur les données de 14 villes (dont les deux précitées du côté francophone) pour conclure à cette inflexion.

Même Winterthour, près de 107 000 habitants, souffre au regard de sa grande sœur zurichoise. Pénalisée par son profil d’ancienne cité industrielle, à...

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