Une «offensive de transparence». C’est ainsi que le ministre de la Défense, Guy Parmelin, a qualifié le rapport présenté hier, premier du genre, énumérant l’état d’avancement des principaux projets de l’armée. Une constante s’en dégage: le personnel procure bien des soucis au Département fédéral de la défense (DDPS).
Sur les 27 achats ou programmes les plus importants, plusieurs citent les ressources humaines parmi les risques encourus. C’est le cas du développement de l’armée (Deva), la grande réforme dont la mise en œuvre débutera en 2018. «Si le nombre de collaborateurs se restreint, la réalisation pourrait en être menacée», n’hésite pas à avertir Guy Parmelin.
En concurrence avec le secteur privé
Mais d’autres desseins déplorent la cure d’amaigrissement des effectifs. En vrac, on peut relever le Service de police aérienne 24, qui doit mettre à disposition dès 2020 deux avions 24 heures sur 24.
Mais aussi le Réseau de...