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La droite fait mal à l’armée suisse

Le ministre Guy Parmelin a présenté, hier, un rapport sur l’avancée des principaux projets militaires, menacés par les coupes au niveau du personnel de la Confédération.

28 avr. 2017, 23:25
/ Màj. le 29 avr. 2017 à 00:01
HANDOUT - Undatierte Aufnahme eines Laserschusssimulators "Leichtes Maschinengewehr 05" (LASSIM LMg 05). - Die Sicherheitspolitische Kommission des Nationalrats hat das diesjaehrige Ruestungsprogramm fuer die Armee ohne Abstriche gutgeheissen. Sie genehmigte die Beschaffungen im Umfang von 496 Millionen Franken mit 17 zu vier Stimmen, wie die Parlamentsdienste am Mittwoch, 1. April 2009, mitteilten. Die Mehrheit war der Ansicht, dass das beantragte Material notwendig sei (militaerisches Anflugleitsystem, Sanitaetswagen, Fahrausbildungs- und Trainingsanlage f¸r Motorfahrer, Simulationsunterstuetzung fuer den Einsatz in ueberbautem Gelaende und die Laserschuss-Simulatoren fuer Richtladungen und leichte Maschinengewehre).  (KEYSTONE/ZEM/ARMASUISSE) *** NO SALES, DARF NUR MIT VOLLSTAENDIGER QUELLENANGABE VERWENDET WERDEN *** HANDOUT -  *** NO SALES, DARF NUR MIT VOLLSTAENDIGER QUELLENANGABE VERWENDET WERDEN *** SCHWEIZ NR KOMMISSION RUESTUNGSPROGRAMM

Une «offensive de transparence». C’est ainsi que le ministre de la Défense, Guy Parmelin, a qualifié le rapport présenté hier, premier du genre, énumérant l’état d’avancement des principaux projets de l’armée. Une constante s’en dégage: le personnel procure bien des soucis au Département fédéral de la défense (DDPS).

Sur les 27 achats ou programmes les plus importants, plusieurs citent les ressources humaines parmi les risques encourus. C’est le cas du développement de l’armée (Deva), la grande réforme dont la mise en œuvre débutera en 2018. «Si le nombre de collaborateurs se restreint, la réalisation pourrait en être menacée», n’hésite pas à avertir Guy Parmelin.

En concurrence avec le secteur privé

Mais d’autres desseins déplorent la cure d’amaigrissement des effectifs. En vrac, on peut relever le Service de police aérienne 24, qui doit mettre à disposition dès 2020 deux avions 24 heures sur 24.

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