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La clause Ambühl revient sur la table

27 juin 2016, 23:41
/ Màj. le 28 juin 2016 à 00:01
Bundespraesident Johann N. Schneider-Ammann aeussert sich an einem Point de Presse im Anschluss an die Ministerkonferenz der EFTA, am Montag 27. Juni 2016 in Bern. Am Ministertreffen wurde unter Anderem auch ueber den Ausgang des britischen Referendums zum Verbleib in der EU ("Brexit") und die Folgen fuer die EFTA-Staaten und den EWR diskutiert. (KEYSTONE/Marcel Bieri) SCHWEIZ EFTA MINISTERTREFFEN

Sandrine Hochstrasser

Serait-ce la proposition pour sauver la voie bilatérale? C’est ainsi que le président de la Confédération, Johann Schneider-Ammann, l’a présenté dans la presse dominicale. Alors que des quotas n’ont aucune chance d’être acceptés par Bruxelles, «la solution de l’ancien secrétaire d’Etat Michael Ambühl a certaines chances», a-t-il affirmé.

Malgré le Brexit – et contrairement à de nombreux parlementaires – le gouvernement n’a pas abandonné l’idée d’une solution négociée avec l’Union européenne. Le modèle, promu tout d’abord par le Tessin puis défendu par la Conférence des gouvernements cantonaux ce vendredi, se retrouve ainsi en haut de l’agenda politique. Contesté, il sera étudié et âprement débattu jeudi par la commission des institutions politiques du Conseil national.

Préférence indigène

De quoi parle-t-on? D’un mécanisme pour déterminer quand, exactement, la Suisse pourrait prendre des mesures contre l’immigration en privilégiant les travailleurs résidants.

La toute dernière version de ce modèle se révèle plus...

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