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L’Assemblée fédérale comble un vide

Dès le 1er janvier 2018, une cellule de conseils externe sera à disposition des parlementaires harcelés.

13 déc. 2017, 23:15
/ Màj. le 14 déc. 2017 à 00:01
Nationalraete debattieren an der Wintersession der Eidgenoessischen Raete, am Mittwoch, 13. Dezember 2017 im Nationalrat in Bern. (KEYSTONE/Anthony Anex) SCHWEIZ WINTERSESSION

L’information rédigée sur circulaire verte et glissée hier sur les pupitres des élus du National et des Etats est inédite: dès le 1er janvier 2018, la Fachstelle für Mobbing und Belästigung (Centre pour le mobbing et le harcèlement) se tient prête à conseiller les parlementaires fédéraux. Et ce en français, en allemand et même en italien sur demande.

Ainsi en a décidé la Délégation administrative (DA) de l’Assemblée fédérale composée des présidents et vice-présidents du Conseil national et des Etats. Le budget de ce dispositif s’élève à 3600 fr. par an. Une mesure qui se veut un antidote au scandale suscité par l’affaire Yannick Buttet (PDC/VS), harceleur présumé, actuellement en congé-maladie.

Avec des bureaux à Berne et Zurich et une ligne d’appel, ce Centre pour le mobbing et le harcèlement, dirigé par la psychologue Claudia Stam-Wassmer, permet aux victimes de trouver conseil. Les frais sont pris en charge et...

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