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De 30 à 40 jets de combat, pas plus?

Pour succéder au F/A-18, le rapport d’experts soumet quatre variantes liant avions et DCA. Mais les réalités financières donnent le ton, et les 55 chasseurs souhaités semblent un mirage.

25 mai 2017, 23:42
/ Màj. le 26 mai 2017 à 00:01
ZUR AUSSAGE VON VERTEIDIGUNGSMINISTER MAURER: DIE SCHWEIZ BRAUCHE 100 ZUSAETZLICHE STELLEN, STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG --- Die Schweizer Luftwaffe soll künftig auch ausserhalb der Bürozeiten einsatzbereit sein. Dafür seien über 100 neue Stellen nötig, sagte Bundesrat Ueli Maurer. Bei der Flugzeugentführung vom Montag hätte die Luftwaffe allerdings auch nicht eingegriffen, wenn sie zum Zeitpunkt des Vorfalls verfügbar gewesen wäre. --- Ein F/A-18-Flugzeug wird fuer den Flug vorbereitet, aufgenommen am 20. August 2013 auf dem Militaerflugplatz Emmen der Luftwaffe der Schweizer Armee. (KEYSTONE/Christian Beutler) SCHWEIZ ARMEE PILOTEN SICHERHEIT

«Pour un service de police aérienne de longue durée, il faudrait 55 avions de combat.» C’est ce qu’écrivait le Conseil fédéral dans son rapport d’août 2014 sur la question. Près de trois ans plus tard, cette barre semble ardue à taquiner.

Et pour cause: les réflexions s’orientent plutôt vers une trentaine de jets, couplés à un système de défense sol-air, indiquent nos recherches. Ce serait en tout cas la direction prise par le groupe d’accompagnement politique, sur la base du rapport du groupe d’experts du Département de la défense (DDPS), dont nous nous sommes procuré le résumé.

Que s’est-il passé depuis le document du gouvernement? Les réalités financières se sont imposées dans la discussion. Et elles sont plutôt crues. L’armée dispose, grosso modo, d’un budget de cinq milliards de francs annuels. Sur cette enveloppe, «seul» un milliard reste à disposition pour les investissements dans l’armement. Trois milliards se font en...

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