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Daniel Häni, un éternel insatisfait

24 avr. 2016, 23:59
/ Màj. le 25 avr. 2016 à 00:01
Acht Millionen Fuenfrappenstuecke werden ausgepackt im Safe der ehemaligen Schweizerischen Volksbank in Basel am Dienstag, 1. Oktober 2013. Die Generation Grundeinkommen hat mit 75 Leuten innert 400 Stunden die Fuenfrappenstuecke aus ihren 160'000 Papierrollen ausgepackt. Die 15 Tonnen Muenzen werden am 4. Oktober zur Einreichung der "Eidgenoessischen Volksinitiative fuer ein bedingungsloses Grundeinkommen" auf dem Bundesplatz in Bern ausgeschuettet. (KEYSTONE/Georgios Kefalas) SCHWEIZ GENERATION GRUNDEINKOMMEN

Ariane Gigon

Au plafond du restaurant «unternehmen mitte», une poutre de livres colorés attire immédiatement le regard. Ce n’est pas la seule particularité de l’endroit, repris en 1998 par Daniel Häni et quelques amis: nous nous trouvons dans l’ancien siège de la Banque populaire suisse, au centre de Bâle. Au sous-sol, les salles des coffres ont été conservées. Banque, création artistique, restauration: des genres inconciliables? Pas pour Daniel Häni, coauteur de l’initiative sur le revenu de base inconditionnel (RBI). Bien au contraire.

Provenant d’une exposition du Musée du design Vitra, à Weil am Rhein (D), la fameuse poutre de livres colorés «porte toute l’œuvre de Rudolf Steiner, soit, mis bout à bout, la plus grande œuvre philosophique de l’histoire de l’humanité», affirme Daniel Häni, 50 ans. Si la pertinence de cette affirmation est laissée, ici, en suspens, le thème «Rudolf Steiner» fait immédiatement l’objet d’une mise au point: «Certains médias...

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