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Bâle invente le «permis de tapiner»

27 juin 2016, 23:41
/ Màj. le 28 juin 2016 à 00:01
Die Grenze und ein Piktogramm fuer die Toleranzzone fuer das Rotlichtmilieu wird von Mitarbeitern des Bau- und Verkehrsdepartementes an der Ecke Webergasse/Ochsengasse markiert in Basel am Montag, 27. Juni 2016. Die Markierungen sollen anzeigen, wo Prostituierte in der Oeffentlichkeit moegliche Kunden ansprechen koennen. Der Wunsch, die Begrenzungen der Toleranzzone auf den Trottoirs farblich zu markieren kam von der Bevoelkerung. (KEYSTONE/Georgios Kefalas) SCHWEIZ TOLERANZZONE ROTLICHTMILIEU

Depuis 2013, Zurich a son «Strichplatz» – un parc réservé à la prostitution et aux clients motorisés.

Depuis hier, Bâle a ses trottoirs. Le trottoir, en matière de prostitution, n’est évidemment pas une surprise. Mais ceux-là sont spéciaux: ils sont marqués en vert.

Car il fallait paraît-il trouver une solution. Ces dames, parmi lesquelles le «taux de fluctuation est très élevé», expliquent les autorités, ne savent pas toujours faire la différence entre les zones où tapiner est toléré et celles où cela ne l’est pas.

Sur 800 praticiennes en service chaque jour, la majorité dans des salons ou des bars, 30 à 40 personnes sont concernées. Au lieu de les déménager dans un parc ad hoc, Bâle a – un peu comme les arbitres de football – tiré une ligne au sol. De couleur verte, elle montre de quel côté tapiner est permis: un pictogramme représentant une femme appuyée contre...

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