Quand êtes-vous arrivé à Paris?
Samedi soir, déjà. Aujourd'hui dimanche, c'est une journée "off", sans tennis. Lundi, je m'entraînerai à Roland-Garros avant mon premier tour prévu mardi.
Que représente votre victoire à Genève?
D'abord, c'est un titre supplémentaire dans ma carrière. A Genève, chez moi, qui plus est. Compte tenu de mon état de forme, ces dernières semaines, il est important pour la confiance. C'est la meilleure des choses qui pouvait m'arriver. Je suis content de l'avoir fait.
En quoi ces matchs et ces succès seront-ils importants en vue de Roland-Garros?
Je n'ai pas obtenu les succès escomptés jusque-là, sur terre battue. Je jouais bien à l'entraînement; j'avais de bonnes sensations. Mais ce n'est pas la même chose. Ce n'est pas à l'entraînement que l'on engrange cette confiance. Elle me permet de moins hésiter sur le terrain, de moins réfléchir. Or, c'est quand on hésite trop qu'on joue moins bien. Désormais, je serai plus relâché. Mais Roland-Garros, c'est un autre contexte, un autre tournoi. C'est différent.
Que savez-vous de Jozef Kovalik, 152e joueur mondial, que vous rencontrerez au premier tour?
Pas grand-chose. Il est sorti des qualifications. Je chercherai à en savoir un peu plus avec mon coach, aujourd'hui. Je demanderai quelques infos à Benoît Paire, lequel l'avait rencontré et battu dans un Challenger, début avril.