Il y a bien quelques cheveux gris en plus, une tignasse plus désordonnée, une paire de lunettes désormais sur le nez, signe du temps qui passe, sinon, rien n’a véritablement changé. Yannick Noah était déjà là en 1998, à Sion. Il est à nouveau là, à Genève. Dix-neuf ans plus tard, le capitaine a retrouvé sa chaise. En face, c’est donc à nouveau la Suisse qui se dresse sur sa route. Tenez, même Martina Hingis est toujours là. Mieux. La Saint-Galloise paraît mieux intégrée dans l’équipe, bien plus souriante et détendue. Hier, elle n’a d’ailleurs pas été la dernière à plaisanter. Yannick Noah, lui, est toujours le même. Disponible, au point de ne plus lâcher les micros des radios et des télés, affable, volontiers disert malgré la récurrence des questions, le dernier vainqueur français en Grand-Chelem doit, là aussi, se passer de son numéro un. S’il a délibérément écarté Gaël...
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Le «sorcier» n’a pas changé
Yannick Noah avait laissé la France, en Fed Cup, au soir d’une défaite à Sion. Dix-neuf ans plus tard, il est de retour sur la chaise. La magie et le charme opèrent toujours. «Ses» filles l’ont déjà adoubé.
Votre publicité ici avec IMPACT_medias