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Une classe à part

Leader en endurance et en formule E, le Vaudois veut conquérir ce week-end les 24 Heures du Mans.

16 juin 2017, 23:34
/ Màj. le 17 juin 2017 à 00:01
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Avec un grand-père pilote (Georges Gachnang), un père directeur d’un garage (Antoine), une maman passionnée de sports motorisés (Véronique) et une cousine mordue de compétition (Natacha Gachnang), Sébastien Buemi est tombé dans la marmite automobile dès sa naissance. Le kart qu’il a découvert sous le sapin de Noël à l’âge de 5 ans l’a propulsé sur les circuits avant même d’aller sur les bancs d’école. Le début d’une carrière prodigieuse qui l’a vu, après avoir brillé en karting à ses débuts, enchaîner trois saisons en formule 1, remporter le titre mondial en endurance (WEC) en 2014, puis celui de formule E deux ans plus tard.

Désormais âgé de 29 ans, le Vaudois, qui s’est adjugé huit des dix courses disputées cette saison, est bien parti pour décrocher un improbable doublé WEC/ formule E en fin de saison. Pour y parvenir, le pilote d’Aigle va devoir briller ce week-end lors des...

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