Avant les premiers virages de cette saison 2016, on l’avait placé parmi les quatre candidats potentiels au titre de champion de Suisse 2016. Quand on peut s’appuyer sur un pilotage accompli, que l’on se lance sur des routes connues et qu’on prend place à bord d’une R5, le bolide le plus puissant du championnat, on n’échappe pas à l’étiquette de favori. Quand il s’élancera demain matin sur la première spéciale, Mike Coppens n’occupera pourtant que le 25e rang général provisoire suisse. Pour lui, l’apprentissage ne s’est pas déroulé comme il le souhaitait. «C’était sympa de me placer parmi les favoris. Mais j’ai quand même beaucoup moins de rallyes à mon actif que les autres qui avaient été cités, rappelle-t-il, faisant référence à Sébastien Carron, Ivan Ballinari ou encore Pascal Perroud. Mais les miracles, ce n’est qu’à Lourdes qu’ils se produisent», ajoute-t-il.
Eviter une nouvelle frustration
De miracle, il n’y...