Fredi Pargätzi est un homme décontracté, qui cultive une certaine discrétion. Facile d'accès, le «big boss» savoure intérieurement le succès du tournoi 2010. Des stars, du spectacle, des sous pour les caisses du HC Davos, aucun nuage à l'horizon, si ce n'est peut-être la réticence de quelques clubs de LNA à lâcher leurs employés helvétiques le temps du tournoi. Zoug a refusé de céder Rafael Diaz à Genève-Servette. Idem pour Langnau avec Daniel Steiner. La crainte d'un ennui de santé était trop forte. Ironie du sport, c'est à l'entraînement que le topscorer des Tigres emmentalois s'est blessé mercredi... Fredi Pargätzi n'en a cure. Sa Coupe est une affaire qui roule.
Le bilan à six
«C'est un grand succès! Les spectateurs, les médias et les joueurs ont très bien accepté la nouvelle formule, car elle génère un intérêt sportif à chaque match. Il y a eu quelques commentaires dus au fait...