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Quand le public s’impatiente

L’inconstance de la formation haut-valaisanne fait grogner les supporters viégeois qui ont demandé un changement à la tête de l’équipe à plus d’une reprise durant le mois de novembre. Du côté de la direction et de Sébastien Pico, on refuse pourtant de s’affoler.

30 nov. 2015, 23:24
/ Màj. le 01 déc. 2015 à 00:01
Joueurs de Hockey lors d'un match amical entre les Red Ice et le Hc Viège en ce 19 aout 2015.



Ici Kim Collins entraineur du HC Viège.



Louis Dasselborne/Le Nouvelliste

Rarement on avait entendu autant de sifflets provenant des travées de la Litternahalle que cette année. Et pour cause: le HC Viège réalise son deuxième début de saison le moins productif depuis l’exercice 2008/2009. Que ce soit en termes de points engrangés après 21 journées ou de succès à domicile après 11 parties.

Alors oui, Viège vient de sortir un gros match contre Berne et a mis fin à une série de cinq revers en championnat. Les Haut-Valaisans n’oublieront toutefois pas que l’adversaire se nommait Winterthour, un néopromu qui évolue sans étrangers. «Notre public est fait de passionnés. Il vit les matchs très intensément et peut se montrer très critique. Quand nous perdons, c’est comme si lui perdait. Mais malgré nos dernières séries négatives, il fait preuve d’une incroyable fidélité. Les spectateurs sont d’ailleurs de plus en plus nombreux au fil des saisons», se défend Sébastien Pico.

Ils ont demandé...

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