Gerd Zenhäusern, votre équipe couche sur neuf revers consécutifs. Passez-vous néanmoins de bonnes Fêtes de fin d’année?
Oui. J’ai pu me ressourcer trois jours en Valais, dans la vallée de Tourtemagne. Cela m’a fait du bien de passer du temps avec ma famille, qui a su trouver les bons mots pour me soutenir dans cette période plutôt difficile.
Avez-vous réussi à débrancher?
Non, c’est impossible. Dans la tête, même si je m’efforce de ne pas le montrer, ça gamberge. Notamment le matin, au réveil. Je suis en quête constante de solutions. Je ne cesse de me dire: que puis-je faire pour rendre mon équipe meilleure?
Et avez-vous trouvé les réponses?
Seulement des bribes. Les vraies réponses viendront de la glace. Si nous parvenons à renouer avec la victoire, je pourrai répondre positivement à la question. Pour le moment, j’en suis à ébaucher des hypothèses.
On vous sent torturé…
C’est normal....