MATHIAS FARQUET
Communication et organisation des matchs
«Sans le salaire de ma femme...»
Depuis qu’il est salarié au Red Ice, désormais à Martigny, soit depuis 2013, Mathias Farquet avait déjà vécu quelques exercices difficiles. «Ce n’est pas la première fois que le budget n’est pas équilibré, relève-t-il. Mais les salaires avaient toujours été réglés et le trou bouché en fin de saison. Je n’avais donc pas de raison d’être trop inquiet jusqu’à ce qu’on comprenne, cette fois, que les promesses ne seraient pas tenues. Cette issue, c’est quand même une surprise.»
«Le président aurait dû nous licencier»
Le responsable de la communication a touché son dernier salaire en février. A l’instar des trois autres salariés du bureau, il a mis le club en demeure à la mi-avril. Mais il a dû attendre que la faillite soit prononcée, le 14 juin, pour pouvoir s’inscrire au chômage. «En fait, le président aurait...