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Repartir au travail

La soirée à l’Emirates restera de celles qui font la différence pour le FC Bâle.

29 sept. 2016, 23:24 / Màj. le 30 sept. 2016 à 00:01
Arsenal's Theo Walcott, left, is challenged by Basel's Birkir Bjarnason during the Champions League group A soccer match between Arsenal and Basel at the Emirates stadium in London, Wednesday, Sept. 28, 2016. (AP Photo/Alastair Grant) Britain Soccer Champions League

On se souviendra de la brillance d’Arsenal. Sanchez, Walcott, Özil: les diamants retrouvés des Gunners, ainsi que le soulignait hier une presse britannique sous le charme. Oui, le Prof Arsène Wenger a poussé son équipe vers la lumière et Bâle a vécu une soirée ombrageuse. Une différence de planète, parfois, peut redonner un coup de fouet salvateur. Bâle méditera, il a de quoi passer quelques nuits sur le tableau noir. Mais pas autant sans doute que lorsque le Barça (0-5 à St-Jacques), Valence (6-0 à la Mestella), le Bayern (7-0, merci d’être venus en Bavière) et même Porto, plus récemment sur le Douro (4-0) avaient donné la leçon de jeu au citoyen helvétique.

«Megagross!»

Que viennent faire les Bâlois dans cette magnifique galère? Ils jouent, parce qu’il faut aussi des prétendants et qu’il y a encore des matches à venir. Même si Renato Steffen, l’attaquant de poche, n’a pas fait...

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