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Mondial 2018: "Nous sommes capables d'obtenir un résultat", assure Vladimir Petkovic

Vladimir Petkovic a réagi au tirage au sort de la Coupe du monde, qui a désigné le Brésil comme l'un des adversaires de la Suisse. Le sélectionneur est persuadé que la Nati peut obtenir un résultat face au quintuple Champion du monde. Interview.

02 déc. 2017, 09:45
Dans un entretien à l'ATS, le sélectionneur Vladimir Petkovic a témoigné d'une résolution extrême.

Depuis que la main de Diego Maradona a désigné le Brésil comme premier adversaire de la Suisse lors de la prochaine Coupe du monde, il n'en démord pas: Vladimir Petkovic est convaincu que la Suisse a les moyens d'obtenir un résultat face au quintuple Champion du monde.

Dans un entretien à l'ATS, le sélectionneur a témoigné d'une résolution extrême. Après le tirage au sort au Kremlin, il estime son équipe toujours capable d'atteindre l'objectif fixé depuis deux ans, c'est-à-dire "écrire l'histoire".

 

Vladimir Petkovic, n'est-ce pas un rêve pour la Suisse d'affronter le Brésil en phase finale de la Coupe du monde pour la première fois depuis soixante-huit ans ?

"Ce n'est pas un rêve. C'est tout simplement la réalité. A nous de tout faire pour qu'elle devienne aussi belle qu'un beau rêve. A Rostov-sur-le-Don le 17 juin, nous devrons entrer sur le terrain avec l'intime conviction que ce match n'est pas joué d'avance. Avec l'intime conviction que nous sommes capables d'obtenir un résultat."

 

Mais le Brésil ne se profile-t-il pas comme le grand favori de cette Coupe du monde ?

"En Russie, le Brésil sera en quête de rachat après son échec de 2014 devant son public. Il a livré un tour préliminaire de grande valeur. Depuis une année et demie, Tite est parvenu à intégrer de nouveaux joueurs. Mais je le répète: nous devons démontrer que nous sommes capables de rivaliser avec une telle équipe."

 

Comment ?

"Nous avons six mois devant nous pour nous pencher sur la question. Mais je ne cesserai de le répéter: il ne faut pas se focaliser sur l'adversaire, aussi fort soit-il. Nous devons nous concentrer sur notre travail. Il faut poursuivre la progression qui est la nôtre depuis plusieurs mois. Nous devons croire de plus en plus en nos possibilités. Mais je suis bien conscient que nous devrons jouer à 150 % de nos moyens pour réussir quelque chose de grand face au Brésil."

 

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