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Ma vie londonienne par Edimilson Fernandes

En manque de confiance quand il débarque à West Ham, Edimilson Fernandes est aujourd’hui un joueur libéré. Domicilié dans un quartier d’affaires, il se sent déjà comme à la maison dans son nouveau club.

22 nov. 2016, 23:44 / Màj. le 23 nov. 2016 à 00:01
Edimilson Fernandes

Canary Wharf, dans une parenthèse ensoleillée de la grisaille londonienne. Les buildings vitrés qui tendent leurs bras au ciel offrent la première attraction de ce quartier d’affaires, le plus puissant après la City. Au milieu de gros 4X4 alignés en bordure de route surgit une voiture allemande blanche aux plaques valaisannes. Plus de doute, on se trouve au bon endroit. «Salut, bienvenue chez moi», sourit Edimilson Fernandes dans une sincère poignée de mains. C’est ici, en bordure d’une Tamise dont on peine à deviner le fond, que le jeune Valaisan a posé ses valises fin août. «Je suis déjà habitué à rouler à gauche. Je pense même ne plus être capable de conduire à droite, comme en Suisse», rigole-t-il en nous priant de l’accompagner dans son appartement.

Peur de l’inconnu

On sent le jeune homme à l’aise. Un bien-être qui contraste avec son arrivée dans la capitale britannique. «Quand...

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