Christian Constantin garde le contrôle de ses émotions après la première défaite du FC Sion en finale de la Coupe de Suisse.
Son huitième trophée dans la compétition lui file entre les mains. Il n’égalera pas Karl Rappan, le légendaire inventeur d’un système de jeu baptisé verrou, tout seul sur la première ligne du palmarès avec huit Coupes conquises dans le survêtement de l’entraîneur. Le président du FC Sion s’exprime dans un registre de maîtrise des mots et des émotions.
Quel est votre sentiment après ce premier revers en finale de Coupe?
Il est très simple. Dans un tel match, tu dois marquer le premier but. Etre devant au tableau d’affichage est essentiel. Entre le centre de Moussa et la présence de Greg dans l’axe, nous pouvions le faire après trois minutes de jeu. Nous ne l’avons pas fait. Bâle marque sur notre première erreur, une glissade de Pa Modou,...