La justice interne de la FIFA, dont les responsables ont été récemment remplacés, a enquêté avant cela sur le rôle de Gianni Infantino dans l’élection du président de la Confédération africaine. Contactée par l’AFP, la FIFA n’avait pas réagi lundi.
Avant que son mandat n’arrive à son terme en mai dernier, le magistrat suisse Cornel Borbély, président de la Chambre d’instruction de la commission d’éthique, avait ouvert une enquête sur de possibles agissements du Valaisan en faveur de l’élection du Malgache Ahmad Ahmad en mars à la présidence de la Confédération africaine du football (CAF). Cette investigation découlait d’éléments envoyés par des représentants africains, selon une source proche de la FIFA.
Plusieurs témoins africains devaient se déplacer à Zurich, mais la convocation d’au moins l’un d’entre eux a été annulée alors que M. Borbély avait quitté la chambre d’instruction, a indiqué cette même source. Selon l’édition dominicale du quotidien britannique...