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Blatter persiste et signe

Le Valaisan affirme n’avoir commis aucune erreur.

25 nov. 2015, 23:36
/ Màj. le 26 nov. 2015 à 00:01
HANDOUT - Suspended FIFA-President Joseph "Sepp" Blatter, left, is interviewed by TV-Journalist Sandro Brotz, right, during the recording for the broadcast "Rundschau", at the TV-Studios of Swiss Television Broadcaster SRF, in Zurich, Wednesday, 25 November 2015. Blatter continues to serve a 90-day suspension for corruption allegations. He is to step down after next year's FIFA Presidential Election. (Handout SRF/Oscar Alessio)  "*** NO SALES, NO ARCHIVES, DARF NUR MIT VOLLSTAENDIGER QUELLENANGABE VERWENDET WERDEN, DARF NUR IM ZUSAMMENHANG MIT DEM ERWAEHNTEN INTERVIEW VERWENDET WERDEN **

** MANDATORY CREDIT, ONLY TO BE USED IN CONNECTION WITH THE REPORTING ABOUT THE MENTIONED INTERVIEW ** *** Local Caption *** Capture transmise à keystone Ag SCHWEIZ FUSSBALL FIFA BLATTER SRF RUNDSCHAU

Sepp Blatter continue de vouloir défendre sa réputation. Le président de la FIFA, actuellement suspendu, a remis en question la légitimité de cette suspension lors d’un entretien diffusé dans l’émission «Rundschau» de la télévision alémanique SF DRS.

Le Valaisan de 79 ans a développé l’argumentation suivante: selon lui, la commission d’éthique a le pouvoir de suspendre des fonctionnaires et des officiels, mais pas lui. «Je ne suis pas un fonctionnaire, je suis le président élu par le congrès», a-t-il dit. Donc, dans sa logique, seul le congrès pourrait le siffler hors jeu. «Si on veut se débarrasser du président, c’est ceux qui l’ont élu qui doivent s’en charger.»

Sepp Blatter a plusieurs fois répété qu’il voulait une bonne sortie, «parce que je ne suis pas un mauvais homme». Il n’a rien fait de mal, a-t-il assuré. «Ceux qui m’accusent doivent le prouver. Ce n’est pas à moi de...

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