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Le sprint avant la montagne

Vainqueur pour la quatrième fois depuis le départ, le Colombien Fernando Gaviria s’est affirmé définitivement comme «le» sprinter du Giro. Aujourd’hui, on prend de la hauteur.

19 mai 2017, 23:27
/ Màj. le 20 mai 2017 à 00:01
Colombia's Fernando Gaviria crosses the finish line to win the 12th stage of Giro d'Italia, Tour of Italy cycling race, from from Forli to Reggio Emilia, Thursday, May 18, 2017. (Alessandro Di Meo/ANSA via AP) Italy Giro Cycling

Si le plateau manque de bon nombre de spécialistes (Kittel, Cavendish, Sagan, Kristoff, Démare et Bouhanni notamment), Gaviria se montre impressionnant pour ses débuts dans un grand tour. Au point que Mark Cavendish, la référence du sprint contemporain, s’est fendu d’un commentaire significatif avant même le quatrième succès du Colombien. «Dieu merci, il ne courra pas le Tour cette année! Il aurait rendu notre job très dur.»

Le néophyte de l’équipe Quick-Step, impressionnant dans la ligne droite finale, a sauté sur la dernière occasion proposée aux sprinters dans ce 100e Giro. Déjà victorieux des 3e (à Cagliari), 5e (à Messine) et 12e (à Reggio Emilia) étapes, Gaviria a devancé nettement l’Irlandais Sam Bennett, son dauphin pour la première fois. «C’était une «remontada», s’est réjoui le Colombien, qui a conforté son maillot cyclamen du classement par points après ce sprint qu’il a qualifié de difficile. De fait, il n’a pu prendre...

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