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Le BMX, presque par défaut

Le Chorgue, 18 ans, voulait pratiquer du motocross. Ses parents, plus réticents, l’ont dirigé vers le BMX, une discipline dans laquelle il excelle. Au point qu’il espère en vivre dès cet été.

24 juin 2016, 00:03
Aigle - 16 juin 2016



Ugo Ballerini, BMX.



Héloïse Maret/Le Nouvelliste

Son truc, tout gamin, c’était le motocross. Il en rêvait secrètement jusqu’à ce que ses parents l’en dissuadent. A 8 ans, Ugo Ballerini s’est donc rabattu sur le BMX. «C’est une amie de ma mère qui lui a soufflé cette idée pour m’éloigner du motocross, glisse-t-il. J’ai essayé à Bex. Très vite, j’ai mordu. La vitesse, les bosses, j’ai trouvé ça fun.»

C’était un plaisir, un sport de substitution à son rêve. Le BMX est devenu une passion, plus tard, peut-être, sa profession. Lui qui terminera en août son apprentissage de mécanicien sur cycles qu’il effectue au Centre mondial du cyclisme, à dix mètres de la piste où il s’entraîne quasi quotidiennement, il compte bien s’investir à plein temps dans ce sport. Mieux. A y gagner sa vie. «Ce n’est pas facile, je vous l’accorde. Dans un premier temps, je compterai toujours sur mes parents. Mais j’ai déjà quelques sponsors;...

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