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«J’ai pris un risque...»

Stefan Küng s’est imposé à Bulle deux ans après sa victoire à Fribourg. Lui qui a souvent chuté a cette fois pris le risque, plus raisonnable, de lancer très tôt son sprint. Il ne l’a pas regretté.

27 avr. 2017, 23:15
/ Màj. le 28 avr. 2017 à 00:01
Stefan Kueng, left, from Switzerland of team BMC Racing raises his arms after crossing the finish line to win the second stage in front of second placed Ukrainian Andriy Grivko, right, of team Astana, a 136.5 km race between Champery and Bulle at the 71th Tour de Romandie UCI ProTour cycling race in Bulle, Switzerland, Thursday, April 27, 2017. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SWITZERLAND CYCLING TOUR DE ROMANDIE

On dit volontiers de Stefan Küng, 23 ans, qu’il est le nouveau Fabian Cancellara. La comparaison, d’ailleurs, l’agace un peu. En regard de ses déboires, ces deux dernières années, de ses nombreuses chutes, il y a aussi un peu d’Alex Zülle chez le Thurgovien, aussi grand par la taille – 193 cm – qu’il l’est par le talent. En 2014, il était champion d’Europe sur route et du contre-la-montre. En 2015, il s’imposait – déjà – sur les routes romandes. A Fribourg. A quelques kilomètres de là. Il s’était imposé en solitaire. Hier, il a remis ça. En force, de nouveau, parce que c’est lui qui a fait exploser le petit groupe des échappés jusqu’à devancer, assez nettement, Andrey Grivko sur la ligne. «J’étais assez confiant, lâche-t-il. Je savais que je devais passer le dernier virage en tête. Que Grivko aurait de la peine à me déborder. Durant les...

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