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Chris Froome, un patron complet

Le Britannique a remporté son troisième Tour de France en variant les plaisirs. Plutôt que d’écraser la course, il a préféré surprendre la concurrence. Sinon, il a pu s’appuyer sur la meilleure équipe du peloton.

24 juil. 2016, 23:15
/ Màj. le 25 juil. 2016 à 00:01
epa05439271 Team Sky rider Christopher Froome of Great Britain celebrates with a glass of Champagne during the 21st and final stage of the 103rd edition of the Tour de France cycling race over 113Km between Chantilly and Paris Champs-Elysees, France, 24 July 2016.  EPA/KENZO TRIBOUILLARD / POOL

Il y avait quelque chose de démoralisant, pour ses rivaux, à voir le nombre de coéquipiers capables d’épauler Chris Froome dans toutes les ascensions. Là où Quintana, Aru ou Bardet n’avait plus qu’un, parfois deux coureurs de leur équipe à leurs côtés, dans les derniers cols, Chris Froome en avait encore cinq ou six autour de lui. Surtout, le rythme imposé en tête de peloton ou du groupe des favoris, dans les cols, a dissuadé les challengers du Britannique d’esquisser des attaques. Là où l’on attendait Henao ou Landa, ce sont surtout Poels et Nieve qui ont assuré le train. Et ce, chaque jour. «Nous n’avons pas gagné le classement par équipes, constate le maillot jaune. Mais j’avais de très loin la meilleure équipe à mes côtés. D’ailleurs, nous sommes quatre dans le top 20. C’était aussi la meilleure formation Sky que nous ayons alignée ces dernières années. En...

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