Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

JEAN-BAPTISTE DAYERIL CHERCHAIT UN NOUVEAU SPORT, IL A TROUVÉ SA VOIE

qu’il affronte sans pression, puisque son sport l’a fait mûrir en tant que sportif et en tant qu’homme.L’espoir du KCV vivra à 16 ans ses premiers Mondiaux juniors la semaine prochaine. Une échéancequ’il affronte sans pression, puisque son sport l’a fait mûrir en tant que sportif et en tant qu’homme.

20 oct. 2017, 23:19
/ Màj. le 21 oct. 2017 à 00:01
Sion  - 17 octobre  2017  - Jean-Baptiste Dayer,karatéka. DAYER2

Apeine entré dans le dojo du Karaté Club Valais (KCV) que le décor est déjà planté: «Le karaté est ma force». Ces lettres inscrites en petits caractères rappellent aux karatékas que leur sport est avant tout une école de vie. Lorsque, à peine âgé de 8 ans, Jean-Baptiste Dayer a franchi pour la première fois les portes du centre d’entraînement du KCV, sans doute n’avait-il pas encore conscience de la révolution que le karaté allait amener dans sa vie. «Je bougeais déjà beaucoup et pratiquais de nombreux sports, mais j’ai voulu essayer encore autre chose», souligne le jeune homme. Dès ses premiers pas sur le tatami, le petit bonhomme découvre un monde qui l’interpelle autant qu’il l’intrigue. «C’était difficile, il y avait tout un travail de mémorisation, tout me paraissait bizarre. Mais j’ai tout de suite croché.»

Des Mondiaux pour l’anniversaire

Huit ans plus tard, le jour de son...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias