Michel Darioly souffrirait-il d’un manque ? «Oui, d’un manque d’heures de sommeil», sourit le patron des épreuves hippiques de Verbier et de Sion. A le voir gesticuler depuis plus d’une heure sur la piste de concours, dans l’allée qui accueille les différents stands d’exposants ou encore à remettre en place des panneaux publicitaires en ce dimanche matin, on veut bien le croire.
Si le Martignerain a obtenu l’organisation des championnats romands cette année, il reconnaît que de ne plus pouvoir mettre sur pied les championnats suisses, lesquels se sont déroulés dans la capitale valaisanne entre 2013 et 2016, a laissé un vide. «Plus qu’un vide, je dirais qu’on cherchait à poursuivre notre développement. Les nationaux ont été une totale réussite, en termes sportifs et de promotion pour le Valais», explique Michel Darioly.
Trop juste pour 2021
Pour poursuivre dans la lignée des compétitions de choix qu’il organise, Michel Darioly a...