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Le Zurichois Marco Weber peut rentrer en Suisse

Trois mois après son interpellation en Russie, Marco Weber, le militant de Greenpeace, a reçu son visa de sortie.

26 déc. 2013, 14:04
epa03960782 A handout picture provided by Greenpeace on 22 November shows Swiss Greenpeace International activist Marco Paolo Weber as he is released on bail from the SIZO 1 detention centre in St. Petersburg, Russia, 22 November 2013. 28 activists and two journalists on board the Greenpeace ship Arctic Sunrise were arrested in September after an attempt to seize an oil rig in the remote Pechora Sea. Russia freed crew members of a Greenpeace ship from their two-month detention as St. Petersburg courts continued to hear bail requests for the activists.  EPA/KIRILL ANDREEV / GREENPEACE / HANDOUT ..IMAGE AVAILABLE FOR DOWNLOAD BY EXTERNAL MEDIA FOR 14 DAYS AFTER RELEASE. TERMS OF DELIVERY: NO THIRD PARTIES, NO RESALE, NO ARCHIVE, FOR EDITORIAL USE ONLY, NOT FOR MARKETING OR ADVERTISING CAMPAIGNS. CREDIT-LINE COMPULSORY. HANDOUT EDITORIAL USE ONLY/NO SALES

Le militant zurichois de Greenpeace Marco Weber peut rentrer en Suisse. Le jeune homme de 28 ans a reçu son visa de sortie, plus de trois mois après son interpellation en Russie, a indiqué jeudi la section suisse de l'ONG.

"Nous nous réjouissons que Marco puisse bientôt serrer dans ses bras sa famille et ses amis", a indiqué un porte-parole de Greenpeace Suisse, Yves Zenger, cité dans un communiqué. Aucune indication ne sera donnée par l'ONG sur son retour pour respecter son souhait.

Auparavant, le Britannique Anthony Perrett avait été le premier militant de Greenpeace à recevoir son visa de sortie.

Greenpeace ajoute que, malgré la libération des 30 activistes arrêtés fin septembre, elle va continuer à s'engager pour la protection de l'Arctique.

26 étrangers sur 30

Les 30 membres de l'équipage de l'Arctic Sunrise, dont 26 sont des étrangers, avaient été arrêtés après une action contre une plateforme pétrolière dans l'Arctique visant à dénoncer les risques de l'exploitation d'hydrocarbures dans cette zone aux écosystèmes particulièrement fragiles.

Détenus à Mourmansk, au-delà du cercle polaire, les 30 membres de l'équipage de Greenpeace ont ensuite été transférés à Saint-Pétersbourg, avant d'être remis en liberté sous caution en novembre.

Inculpés dans un premier temps de piraterie, un crime passible de 15 ans de prison maximum, ils ont ensuite été inculpés de hooliganisme, délit qui leur faisait encourir jusqu'à sept ans de détention.

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