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Le FN Florian Philippot, la menace pour le PS alsacien

L’extrême droite part forte à l’est et dans le sud.

30 nov. 2015, 23:24
/ Màj. le 01 déc. 2015 à 00:01
epa05027056 Leader of the French far-right party Front National (FN) Marine Le Pen (C), vice president Florian Philippot (R) and General Secretary Nicolas Bay (L), leave after a meeting with French President Francois Hollande (not pictured) at the Elysee Palace in Paris, France, 15 November 2015. At least 129 people were killed in a series of attacks in Paris on 13 November, according to French officials. Eight assailants were killed, seven when they detonated their explosive belts, and one when he was shot by officers, police said. French President Francois Hollande says that the attacks in Paris were an 'act of war' carried out by the Islamic State extremist group.  EPA/GUILLAUME HORCAJUELO FRANKREICH TERRORISMUS ANSCHLAEGE PARIS

Le premier tour des élections régionales dimanche prochain en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine pourrait offrir une stature à Florian Philippot (FN), le bras droit de Marine Le Pen. En campagne à Strasbourg, le parti socialiste peine à persuader les indécis face à un candidat jugé comme une menace réelle. Très peu d’affiches des papables sont visibles sur les colonnes Morris à Strasbourg ou dans les environs et les stands de propagande sont encore plus rares. Seul le Parti socialiste (PS), qui a le plus à perdre les 6 et 13 décembre, continue de distribuer des tracts dans les dédales du marché de Hautepierre, pas très loin du parlement européen, dans un quartier où les musulmans viennent faire leurs emplettes le samedi.

Anne-Pernelle Richardot, tête de liste du PS dans le Bas-Rhin, essaie de convaincre les abstentionnistes parmi les détaillants de légumes et les fripiers. Ce marché ressemble davantage à un souk à l’intérieur...

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