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Le doute né à Cologne persiste

Un an après les agressions du Réveillon, la polémique court toujours.

29 déc. 2016, 23:07
/ Màj. le 30 déc. 2016 à 00:01
JAHRESRUECKBLICK 2016 - JANUAR - epa05089574 A picture made available on 06 January 2016 shows crowds of people outside Cologne Main Station in Cologne, Germany, 31 Decemeber 2015. The mayor of Cologne came under fire on 06 January after suggesting a code of conduct for women in response to a wave of sexual assaults likely committed by men of North African descent inflamed Germany's ongoing migration debate. The mass attacks took place on New Year's Eve near Cologne's main train station and included more than 90 alleged sexual assaults and one rape.  KEYSTONE/EPA/MARKUS BOEHM JAHRESRUECKBLICK 2016 - JANUAR - KOELN SILVESTER UEBERGRIFFE

La présence de centaines de milliers de réfugiés rend-elle l’Allemagne moins sûre? Les réfugiés sont-ils plus criminels que les Allemands? C’est avec ces questions que la population a démarré l’année. C’est avec les mêmes interrogations qu’elle va l’achever. Pour nos voisins, l’année 2016 est marquée par le déroulement d’actes criminels et terroristes sans précédent, et qui impliquent des réfugiés.

Il y a eu les agressions sexuelles du jour de l’an à Cologne et Hambourg. Puis, cet été, les deux premières attaques revendiquées par l’Etat islamique (EI) sur le sol allemand. En octobre, l’étudiante Maria L. a été assassinée à Fribourg par un jeune afghan. Enfin, le 19 décembre, le Tunisien Anis A. a lancé un camion sur la foule d’un marché de Noël berlinois faisant, toujours au nom de l’EI, 12 morts et 50 blessés.

Pas plus criminels

Le premier «anniversaire» des «agressions du jour de l’an 2016» se déroule...

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