La présence de centaines de milliers de réfugiés rend-elle l’Allemagne moins sûre? Les réfugiés sont-ils plus criminels que les Allemands? C’est avec ces questions que la population a démarré l’année. C’est avec les mêmes interrogations qu’elle va l’achever. Pour nos voisins, l’année 2016 est marquée par le déroulement d’actes criminels et terroristes sans précédent, et qui impliquent des réfugiés.
Il y a eu les agressions sexuelles du jour de l’an à Cologne et Hambourg. Puis, cet été, les deux premières attaques revendiquées par l’Etat islamique (EI) sur le sol allemand. En octobre, l’étudiante Maria L. a été assassinée à Fribourg par un jeune afghan. Enfin, le 19 décembre, le Tunisien Anis A. a lancé un camion sur la foule d’un marché de Noël berlinois faisant, toujours au nom de l’EI, 12 morts et 50 blessés.
Pas plus criminels
Le premier «anniversaire» des «agressions du jour de l’an 2016» se déroule...