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L’UDC se cherche un meneur

Adrian Amstutz quitte la présidence du groupe parlementaire UDC. Il veut préparer le terrain à son successeur. Voilà qui attise certains appétits, dont celui de Thomas Aeschi.

13 oct. 2017, 23:49
/ Màj. le 14 oct. 2017 à 00:01
ZUM RUECKTRITT VON ADRIAN AMSTUTZ ALS SVP-FRAKTIONSPRAESIDENT, AM FREITAG, 13. OKTOBER 2017, ERHALTEN SIE FOLGENDE ARCHIVBILDER ---- Fraktionschef und Nationalrat Adrian Amstutz (BE) spricht an einer Medienkonferenz ueber die "Behoerdenpropaganda mit der Selbstbestimmungsinitiative und dem Bericht zu "15 Jahre Personenfreizuegigkeit", am Donnerstag, 27. Juli 2017, im Medienzentrum im Bundeshaus in Bern. (KEYSTONE/Anthony Anex) SCHWEIZ PARTEI SVP BEHOERDENPROPAGANDA

Petit coup de théâtre hier aux alentours de 14 h 30. La presse écoutait tranquillement les chefs de l’UDC tirer leur bilan de mi-législature 2015-2019, lorsque le président Albert Rösti a passé la parole à son collègue bernois Adrian Amstutz.

Le moment était venu pour le «Richard Gere des Alpes» (en référence à sa ressemblance avec l’acteur américain) d’annoncer son retrait à la fin de l’année de la présidence du groupe parlementaire.

De quoi lancer les supputations sur son potentiel héritier. Qui devrait, sauf surprise, être un homme alémanique.

En place depuis 2012, le conseiller national a invoqué des motifs stratégiques. «Je dois de toute façon quitter le parlement en 2019, ma section de l’UDC bernoise limitant le nombre de mandats. Il est donc préférable de changer de chef de groupe maintenant, afin que mon successeur soit bien installé pour affronter les élections fédérales de 2019.»

La direction du...

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