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Divisions sur l’énergie et l’immigration

Alors qu’ils devaient conclure leurs négociations de coalition hier, les partis d’une majorité «Jamaïque» ont décidé de prolonger leurs pourparlers.

17 nov. 2017, 23:24
/ Màj. le 18 nov. 2017 à 00:01
Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) kommt am 16.11.2017 zu den Sondierungsgespraechen der sogenannten "Jamaika-Koalition" zwischen CDU, CSU, FDP und Buendnis 90/Die Gruenen in der Parlamentarischen Gesellschaft in Berlin. (KEYSTONE/DPA/Kay Nietfeld) DEUTSCHLAND SONDIERUNGSGESPRAECHE

plutôt qu’abandonner, les partis de la «Jamaïque» se sont accordé un peu de répit. Alors que les négociations pour former une majorité au Bundestag devaient s’achever dans la nuit de jeudi à hier, la CDU (chrétiens-démocrates, conservateurs), la CSU (Union chrétienne-sociale), le FDP (libéraux) et les Verts ont choisi de prolonger leurs discussions. Interrompues à 4 heures du matin, elles ont repris hier à 11 heures et devraient se poursuivre durant le week-end. C’est un signe d’une volonté d’aboutir pour donner à l’Allemagne un gouvernement. Mais c’est aussi le révélateur de l’impasse dans laquelle se trouvent les négociateurs, piégés par leurs antagonismes idéologiques.

«Les fronts se sont durcis», a regretté le libéral Wolfgang Kubicki. «Nous n’avons pris aucune décision dans aucun domaine», a déploré le leader de la CSU, Horst Seehofer, en accusant les Verts. Les Bavarois «jouent à tout ou rien», a répliqué l’écologiste Jürgen Trittin. Personne ne...

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