Interrogé par le quotidien allemand Ruhr Nachrichten, Robert Zollitsch, archevêque et président de la Conférence épiscopale allemande, s'est dit en faveur des réseaux sociaux. "Tous les moyens sont bons pour transmettre la parole de Dieu", explique-t-il. Remarquez, déjà, à l’époque, Jésus avait 12 « followers », et Twitter n'existait pas encore. Partant, pourquoi l'hypothèse de Robert Zollitsch serait si farfelue?
Et l'homme d'église a un argument en plomb. "Aujourd'hui, Jésus serait certainement sur Facebook et Twitter", lance-t-il en affirmant qu'il songeait à s'y inscrire.
En tous les cas, le pape Benoît XVI a lui passé le cap. Le chef de l'église catholique est sur Twitter depuis peu et compte déjà 1,3 million de fans.