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ode au peintre à l’oreille coupée

10 oct. 2017, 23:43
/ Màj. le 11 oct. 2017 à 00:01
La passion Van Gogh

Paris, été 1891. Armand Roulin est chargé par son père Joseph, pourtant facteur de son métier, de remettre en mains propres une lettre de Vincent Van Gogh à son frère Théo. Le jeune homme se montre plutôt rétif à rendre ce service, car il n’apprécie guère que son père ait connu ce peintre marginal à la réputation sulfureuse, dont on vient d’apprendre le suicide…

Tableaux vivants

Ainsi commence «La passion Van Gogh», un long métrage d’animation à nul autre pareil, qui s’efforce de lever le voile sur la relation aux autres et au monde d’un artiste de génie. Respectivement issus de l’école de cinéma de Varsovie et de la National Film & Television School près de Londres, les cinéastes Dorota Kobiela et Hugh Welchman ont littéralement pris l’artiste – qui disait qu’on ne s’exprime qu’en tableau – au mot!

En animant cent vingt-cinq de ses portraits et paysages, ils racontent...

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