Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

L'élégant Warhaus à entendre au Port Franc de Sion jeudi

Le belge Maarten Devoldere, leader de Balthazar, s’impose avec son deuxième album solo comme l’un des plus élégants songwriters de son époque. Interview à l'occasion de son passage en Suisse romande et à Sion jeudi soir.

20 nov. 2017, 14:45 / Màj. le 20 nov. 2017 à 16:00
Il y a quelque chose de baudelairien dans le spleen de Warhaus, dans sa façon de trouver la beauté dans la nuit et ses excès.

Il est avec l’éminent Father John Misty et quelques rares autres sublimes dandys de la musique, l’un des songwriters les plus doués de la génération actuelle. Le belge Maarten Devoldere, quand il ne soulève pas les foules avec son groupe Balthazar, creuse son sillon sous le nom de Warhaus. Timbre grave, atmosphères interlopes, errances nocturnes, quête de pureté éperdue, désenchantement au bord des lèvres… On cite à son propos Leonard Cohen, Tom Waits… Le Panthéon. A sa façon détachée, Warhaus est en train d’y entrer.


A l’époque de votre premier album «We Fucked A Flame Into Being», vous déclariez volontiers ancrer votre songwriting dans les classiques de la littérature. Or il semble que vous ayez pris vos distances avec les livres pour ce deuxième disque. Pourquoi?
C’est surtout que j’ai réalisé en me mettant au travail sur cet album que je n’avais plus lu un seul livre depuis deux...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias