Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Le cinéma sublime nos vécus»

La réalisatrice présente «La petite fille et la mort» ce soir à Verbier et demain à Sion. Le film met en scène une fillette confrontée à la mort de ses parents. Un thème pas anodin pour la cinéaste qui a perdu son papa à 6 ans.

28 nov. 2009, 05:01

«Je veux de l'ordinaire extra, pas de l'extraordinaire. C'est ma devise», souligne Pascale Rocard au fil de l'entretien. «Quand on se réveille, ici, avec ce paysage magnifique, ce n'est pas difficile», ajoute-t-elle en montrant les alentours de Verbier du regard. La comédienne et réalisatrice française, mariée depuis quinze ans au cinéaste valaisan Pierre-Antoine Hiroz, partage sa vie entre Verbier et Paris.

En ce moment, elle est en Valais, pour participer au premier festival «Le Valais fait son cinéma» (cf. encadré). Elle présentera d'ailleurs son court métrage «La petite fille et la mort», ce soir au cinéma de Verbier et demain à Sion. L'occasion pour les spectateurs de découvrir une histoire touchante, celle d'une petite fille de 8 ans qui perd son père et sa mère, disparus en mer. La fillette apprendra peu à peu à faire son deuil au côté de son grand-père (interprété par Jean-Claude Drouot) pourtant bien démuni...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias