Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«L’artiste pointe ce qui ne marche pas dans la société»

Ecole d’art du ValaisLa directrice de l’ quittera ses fonctions à la fin de l’année. Elle aura notamment permis à l’ECAV de gagner en visibilité sur le plan suisse et international.

11 déc. 2017, 23:35
/ Màj. le 12 déc. 2017 à 00:01
Sierre - 5 décembre 2017



Sibylle Omlin, directrice de l'ECAV (école cantonale d'art du Valais) quittera ses fonctions à la fin de l'année.



Sabine Papilloud/Le Nouvelliste

Apartir du 31 décembre, elle se consacrera à l’écriture d’un livre sur l’art de la performance. Besoin d’une pause, de renouer plus directement avec la matière artistique. En huit ans – une longévité relativement importante à ce genre de poste –, Sibylle Omlin aura permis à l’Ecole cantonale d’art du Valais de se faire un nom sur la scène helvétique et internationale.

Certes, ses quelque 200 étudiants – 80 en bachelor ou master en arts visuels, 120 à 140 en maturité professionnelle en graphisme – restent modestes en comparaison avec les écoles d’art de Lausanne (environ 600 étudiants) ou Genève (plus d’un millier). Mais sa collaboration avec la Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO) a permis à l’ECAV d’intégrer «une niche (lui) permettant d’être concurrentielle» avec ses grandes sœurs de l’Arc lémanique.

Les termes sont de Maria-Pia Tschopp, présidente du conseil de fondation de l’ECAV, qui au moment...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias