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La droite encore floue sur l’AVS

Les partis bourgeois discutent d’un plan B. Mais au PDC, le président, Gerhard Pfister, avance en solo.

16 oct. 2017, 23:13
/ Màj. le 17 oct. 2017 à 00:01
Die Parteipraesidenten Albert Roesti, SVP, Gerhard Pfister, CVP und Petra Goessi, FDP, von links, aeussern sich in der sogenannten Elefantenrunde zu den Abstimmungsergebnissen, am Sonntag, 24. September 2017, in Bern. (KEYSTONE/ Peter Schneider) SCHWEIZ EIDGENOESSISCHE ABSTIMMUNG ELEFANTENRUNDE

Il n’y a encore pas si longtemps, le PDC ferraillait main dans la main avec la gauche sur la réforme des retraites. Puis vinrent le verdict populaire du 24 septembre et le refus du paquet Prévoyance vieillesse 2020, par 52,7% des suffrages. Place désormais à la recherche d’un plan B, pour stabiliser financièrement le système, mis à mal par le vieillissement démographique. Et dans cette quête de l’alternative, le président du PDC, Gerhard Pfister (ZG), a déjà tendu la main à ses anciens adversaires, le PLR et l’UDC.

Faut-il y voir un basculement vers un bloc bourgeois excluant la gauche? Ce serait aller trop vite en besogne. Car le patron démocrate-chrétien progresse pour l’instant en solo. Plus d’un élu PDC a appris par voie de presse l’existence de pourparlers avec le PLR et l’UDC. L’étonnement, voire l’irritation, est de mise: le groupe parlementaire avait convenu d’attendre d’abord les propositions...

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