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«Je préfère une fin dans une douleur relative qu’une douleur sans fin»

Président du conseil d’administration de la BCVs, Jean-Daniel Papilloud revient sur l’amende de 2,3 millions de francs payée au fisc américain, mais aussi sur les millions que l’Etat va gagner suite à la restructuration du capital-actions de la banque.

29 déc. 2015, 23:45 / Màj. le 30 déc. 2015 à 00:01
Martigny le, 10 nov. 2011: Assemblée générale de la Banque Cantonale du Valais (BCVs).



Jean-Daniel Papilloud, nouveau vice-président du conseil d'administration de la BCVs.



Le Nouvelliste/Sacha Bittel

La nouvelle est tombée mercredi dernier juste avant Noël, alors qu’elle était prévue en juin déjà. Comme 74 autres banques, la BCVs va d’avoir s’acquitter d’une amende au fisc américain dans le cadre du programme de régularisation fiscale avec les Etats-Unis. Au total, 185 comptes sont concernés pour un montant de 72 millions de dollars. Avec 2,3 millions de francs d’amende, la BCVs est en queue de peloton des banques suisses. A ce jour, plus d’un milliard de dollars ont déjà été versés par celles-ci à Washington.

Président du conseil d’administration et ancien directeur, Jean-Daniel Papilloud revient sur cet épisode, mais aussi sur celui qui a vu la BCVs restructurer son capital avec désormais une action unique nominative.

Jean-Daniel Papilloud, 2,3 millions de francs d’amende au fisc américain, c’est ce que vous aviez prévu…

C’est vrai qu’en 2013, la BCVs avait provisionné un montant supérieur. Mais le fait d’avoir activement...

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